Le Maladie Mentale n'a pas besoin d'être difficile. Lisez ces 6 conseils
Cette terminologie est couramment utilisée dans les pays du Benelux et dans d’autres régimes internationaux. Ces pratiques comprennent ce que l’on appelle l’euthanasie (administrée par un clinicien) et le suicide assisté (autoadministré) dans d’autres pays. En tant qu'auteurs, nous appuyons à l'unanimité ces recommandations. Les connaissances en santé mentale s’entendent des idées et des pensées à l’égard des problèmes et troubles mentaux qui nous aident à les reconnaître, les gérer ou les prévenir. Par exemple, le Code criminel stipule qu’une personne est affectée de problèmes de santé graves et irrémédiables si sa situation médicale se caractérise par un déclin avancé et irréversible de ses capacités. Le Code criminel définit l’aide médicale à mourir (AMM), indique qui peut la fournir et prévoit des exemptions aux médecins et aux infirmières praticiennes à l’égard des infractions liées au fait de conseiller le suicide ou d’y aider, à l’homicide coupable et à l’administration d’une substance délétère, afin qu’ils puissent fournir l’AMM aux personnes qui y ont droit en toute légalité. Ce soutien devrait être de type financier afin de leur permettre de planifier des actions dans le temps mais s’assortir d’un accompagnement politique susceptible d’éviter aux associations de verser dans l’une ou l’autre des trois insuffisances qui guettent le secteur, soit le particularisme qui consiste à préférer un groupe à priori aux dépends de ses partenaires, le paternalisme qui a tendance à passer sous silence les droits des personnes au profit du crédit accordé à ceux qui les leur « accordent », et enfin l’amateurisme et l’absence de continuité liés aux conditions de travail de volontariat des personnes qui s’engagent dans une association8.
Elles peuvent aussi aider à réduire les préjugés en changeant la terminologie utilisée pour décrire la santé mentale et les personnes ayant des problèmes de santé mentale. De plus, elles ont moins de rapports avec la policeFootnote 11. Le gouvernement fédéral devrait participer en bonne et due forme à la promotion de ces programmes, car, comme il a été mentionné précédemment, il est très rentable de le faire. Par manque d’anticipation, la très grande majorité de ces personnes est incapable de gérer ses ressources : découvert chronique qui peut atteindre des sommes très importantes, peut-être un interdit bancaire, endettement auprès des amis ou relations… Gouvernement du Québec, 1997. Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui. Critère de fin thorazine medicament-psychotrope.com de vie : pour être jugée admissible à l’AMM en vertu de la Loi concernant les soins de fin de vie du Québec, une personne devait être en « fin de vie ». Elle a jugé que la Commission n’avait pas correctement appliqué le critère légal de la capacité en laissant sa propre conception de l'intérêt du professeur Starson influencer indûment sa décision, et que la décision d’imposer le traitement était déraisonnable au regard de la preuve.
Capacité (singulier) : fait référence à la prise de décision en matière de santé. Capacités (pluriel) : fait référence au fonctionnement d’une personne. Affaire Truchon : la décision qui a établi l’invalidité de l’exigence d’admissibilité à l’AMM selon laquelle la mort naturelle d’une personne doit être raisonnablement prévisible en vertu de la législation fédérale ou selon laquelle une personne doit être en « fin de vie » en vertu de la législation québécoise. Environ une personne sur cinq souffrira d’une maladie mentale au cours de sa vie. C’est un privilège de contribuer aux discussions en cours au copyright sur l’AMM. Les groupes de parole font aussi un bien fou aux familles. Bien que notre mandat ne consistait pas à débattre si l’accès à l’AMM devrait être autorisé pour les maladies mentales, nous avons pris très au sérieux de tels arguments. Ton inscription a bien été enregistrée! Association professionnelle : une organisation non gouvernementale représentant des types ou des groupes spécifiques de professionnels. Peut-être encore leur état de confusion les avait-il simplement fait se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et être mêlés à une violente dispute. Nous sommes conscients que ces discussions peuvent être controversées, notamment en ce qui concerne l’AMM pour les maladies mentales où les opinions divergent nettement.
Ces arguments, discutés en profondeur, ont servi de base à l’élaboration de nos recommandations. Le Groupe reconnaît la gravité des préoccupations susmentionnées et a soigneusement examiné chacune de ces questions pour formuler ses recommandations. Les recommandations contenues dans ce rapport sont fondées sur les connaissances et expériences collectives des membres du Groupe. Nous sommes heureux de soumettre le rapport final du Groupe d'experts sur l’aide médicale à mourir (AMM) et la maladie mentale pour votre considération. Nous espérons que notre travail contribuera de façon positive à l’évolution des politiques et de la pratique de l’AMM. En fonction de leur mandat, les associations de professionnels de la santé peuvent chercher à promouvoir les intérêts professionnels de leurs membres, à défendre les intérêts des patients, à élaborer des directives de pratique clinique et à soutenir les activités de recherche et de formation de leurs membres. Chez certains patients, le désir de mourir est le résultat d’un processus de délibération minutieux et devient durable. Le Groupe souhaite reconnaître avec gratitude le soutien du Secrétariat de Santé copyright pour son aide indéfectible tout au long du processus du Groupe.